Salut ami(e) tennis(wo)man,
Cet article est un article-invité écrit par Brigitte Simon du blog http://brigitte-simon-sport-et-nutrition.fr/ .
Vous pouvez suivre aussi ces pages Facebook : Evolution-tennis-concept-au-feminin et Pour un meilleur équilibre alimentaire. Pour plus d’information sur Brigitte Simon, vous avez sa page Wikipédia ici.
Je vous invite à visiter son blog très riche en article sur l’alimentation et la psychologie du joueur. Cette ex-numéro 1 française et demi-finaliste à Roland-Garros s’est reconvertie dans l’enseignement du tennis puis le coaching en mental et nutrition. Elle me fait le plaisir de faire part de son expérience du milieu professionnel du tennis et de l’alimentation pour parler des compléments alimentaires chez les pros et les amateurs.
Comme une voiture de Formule 1 demande des réglages très précis avec notamment des essences adaptées à chaque circuit, notre corps a besoin de nutriments précis avec des proportions adaptées à chaque période de l’année selon la saison ou la phase de la programmation sportive.
C’est donc un élément essentiel pour le bien-être dans un premier temps et la performance dans un deuxième temps.
Les compléments alimentaires : Quand l’alimentation s’appauvrit…
Si l’industrie agro-alimentaire a fait d’énormes progrès au cours des 50 dernières années, il n’en demeure pas moins qu’elle a aussi profondément changé la nature même de ce que l’on retrouve dans nos assiettes… et pas toujours pour le mieux.
Ainsi, on ne peut que louer les progrès significatifs en termes d’hygiène, de traçabilité, etc, mais on peut aussi déplorer le développement d’une agriculture intensive qui lessive les sols et les appauvrit en nutriments, d’un raffinage quasi systématique des céréales, des sucres et de bien d’autres matières premières.
Nos aliments sont devenus des coquilles vides… de nutriments. Combien de pêches, d’oranges, de brocolis faut-il ingurgiter pour retrouver les bienfaits d’il y a un demi-siècle ?
Une étude canadienne a ainsi pointé du doigt l’appauvrissement de nos fruits et légumes. Pour trouver la même quantité de nutriments présents dans une pomme en 1940, il faut désormais en croquer 3. La quantité de vitamine A présente dans une orange en 1960 se retrouve dans… 8 oranges en 2010 !
Mordre à pleines dents dans une pêche et avaler… de l’eau sucrée. Manger toujours plus, pour se nourrir de moins en moins. Tandis que, dans les pays développés, nos apports en calories augmentent, la plupart des aliments non transformés que nous consommons – fruits, légumes et céréales – deviennent des coquilles vides sur le plan nutritionnel. Une dizaine d’études d’universités canadiennes, américaines et britanniques, publiées entre 1997 et aujourd’hui, font état d’une dégringolade de la concentration en nutriments dans nos aliments. Ces travaux résumés dans l’étude « Still no free lunch » de Brian Halweil, chercheur au Worldwatch Institute confirment l’essor de la « calorie vide » : grasse, sucrée, mais inutile pour la santé. Même dans les aliments réputés sains, vitamines A et C, protéines, phosphore, calcium, fer et autres minéraux ou oligo-éléments ont été divisés par deux, par vingt-cinq, voire par cent, en un demi-siècle. Pour retrouver les qualités nutritionnelles d’un fruit ou d’un légume des années 1950, il faudrait aujourd’hui en manger une demi-cagette !
Vitamine C : une pomme hier = 100 pommes aujourd’hui
Hier, quand nos grands-parents croquaient dans une transparente de Croncel, ils avalaient 400 mg de vitamine C, indispensable à la fabrication et à la réparation de la peau et des os. Aujourd’hui, les supermarchés nous proposent des bacs de Golden standardisées, qui ne nous apportent que 4 mg de vitamine C chacune, selon Philippe Desbrosses, docteur en sciences de l’environnement à l’université Paris-VII. Soit cent fois moins. « Après des décennies de croisements, l’industrie agroalimentaire a sélectionné les légumes les plus beaux et les plus résistants, mais rarement les plus riches sur le plan nutritif », déplore ce militant pour la préservation des semences anciennes.
Vitamine A : une orange hier = 21 oranges aujourd’hui
Précieuse pour notre vue et nos défenses immunitaires, la vitamine A est en chute libre dans 17 des 25 fruits et légumes scrutés par des chercheurs canadiens dans une étude synthétisée pour CTV News. Le déclin est total pour la pomme de terre et l’oignon qui, aujourd’hui, n’en contiennent plus le moindre gramme. Il y a un demi-siècle, une seule orange couvrait la quasi-totalité de nos besoins quotidiens – les fameux AJR (apports journaliers recommandés) – en vitamine A. Aujourd’hui, il faudrait en manger 21 pour ingurgiter la même quantité de la précieuse vitamine. De même, une pêche des années 1950 équivaut à 26 pêches aujourd’hui.
Fer : la viande en contient deux fois moins
Au début de la chaîne, il y a la céréale. Blé, maïs et soja sont aujourd’hui plus pauvres en zinc, en cuivre et en fer qu’il y a cinquante ans. Appauvries par des décennies d’agriculture intensive et de sélections variétales, ces céréales réapparaissent dans l’auge de nos bêtes, qui, par répercussion, se trouvent moins bien nourries que leurs ancêtres. En bout de chaîne, l’animal devenu steak apportera moins de micronutriments dans nos assiettes. Tel est l’effet domino identifié par le chercheur américain David Thomas. Dans son étude [1] publiée dans la revue Nutrition et Health, il constate qu’à poids égal un même morceau de viande apporte deux fois moins de fer qu’un demi-siècle auparavant. Or, celui-ci sert à l’élaboration. Autre dommage collatéral : le lait « a perdu ces acides gras essentiels », déplore Philippe Desbrosses. Des acides essentiels à nos membranes cellulaires, notre système nerveux et notre cerveau. Naturellement présents dans l’organisme en très petite quantité, ils doivent nous être apportés par l’alimentation.
Calcium : quatre fois moins dans le brocoli
Mauvaise nouvelle. Si le brocoli figure sur la liste de ces légumes que vous ne consentez à avaler qu’en pensant à votre santé, vous n’avez pas fini de grimacer. Alors que ce chou venu du sud de l’Italie contenait 12,9 mg de calcium – allié de la construction osseuse et de la coagulation du sang – par gramme en 1950, il n’en renfermait plus que 4,4 en 2003, selon une étude de l’université du Texas, soit quatre fois moins. Si vous comptiez sur lui pour compenser la carence en fer de votre steak, c’est également loupé. Il vous faudrait en mettre six fois plus dans la soupe pour obtenir les mêmes bienfaits que par le passé. Sur les 25 légumes étudiés par l’équipe de recherche canadienne, 80% ont vu leur teneur en calcium et en fer décliner.
Le bio est-il une solution ?
Les facteurs de ce déclin sont multiples. Des sols plus pauvres, des végétaux cueillis trop tôt, des traitements de conservation plus fréquents, des croissances plus rapides dopées par les engrais et une réduction du nombre de variétés, sélectionnées pour leur résistance aux parasites et leur rapidité de croissance… Autant d’éléments imputables à une quête de meilleurs rendements. Résultat, « pour le maïs, le blé et le soja, plus le rendement est important, plus le contenu en protéines est faible », note Brian Halweil, dans son étude. Même schéma pour les concentrations de vitamine C, d’antioxydants et de bêtacarotène dans la tomate : plus les rendements augmentent, plus la concentration de nutriments diminue.
A contrario, « l’agriculture biologique peut contribuer à inverser la tendance », indique Brian Halweil dans son étude. De fait, à conditions climatiques équivalentes « les aliments bios contiennent significativement plus de vitamine C, de fer, de magnésium et de phosphore que les autres ». Le chercheur met pourtant en garde : « Si les agriculteurs bios développent un système riche en intrants avec des rendements comparables aux exploitations conventionnelles, le bio verra son avantage nutritionnel s’éroder. » De même, si les produits bios sont cueillis avant maturité, ils sont finalement moins riches en nutriments que des produits mûrs de l’agriculture traditionnelle. Seule stratégie pour remettre de la vie dans son assiette : choisir des aliments mûrs, produits de manière non intensive et partir à la chasse aux variétés oubliées. Une épopée.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes et face à une offre toujours plus prolixe dans les rayons de nos supermarchés, il convient pourtant de corriger certains manques dans notre alimentation.
Hormis la qualité nutritionnelle de nos aliments que l’on ne peut pas contrôler, il y a aussi des mauvaises habitudes de notre part.
Les erreurs les plus fréquentes sont :
>>> une alimentation souvent mal organisée et déstructurée du fait de l’association vie professionnelle, vie privée et vie sportive.
>>> des pratiques utilisées pour la gestion du poids de corps souvent incompatibles avec la performance et parfois même dangereuses pour la santé.
>>> une mauvaise gestion de l’apport en lipides (quantitativement et qualitativement).
>>> une déficience en micronutriments (ce qu’on appelle aussi les oligo-éléments)
>>> une hydratation mal gérée.
De telles erreurs se répercutent sur le rendement du sportif :
- entraînements moins efficaces,
- récupération plus difficile,
- diminution de la performance en compétition,
- difficultés de concentration,
- problèmes de coordination,
- risque de blessures,
- fatigue accentuée,
- risque plus important de surentraînement…
Une solution : La notion de bonne quantité :
Pour approcher de manière simple et schématique l’aspect quantitatif et qualitatif d’une ration alimentaire et pour qu’un repas soit équilibré, il existe la méthode du 421 GPL :
4 portions de Glucides
2 portions de Protéines
1 portion de Lipides
Les compléments alimentaires : Le rôle fondamental des micronutriments dans la pratique sportive.
En sollicitant davantage l’organisme, le sportif représente une population dont les besoins nutritionnels sont accrus. Or, la majorité des conseils nutritionnels véhiculés dans le monde du sport se concentre sur l’aspect énergétique (glucides, protides et lipides) en occultant alors le rôle fondamental des micronutriments.
La pratique intensive d’un sport met à l’épreuve notre métabolisme et sollicite le système immunitaire. Des maladies infectieuses ou des inflammations diverses sont donc fréquentes après un effort sportif. C’est pourquoi les sportifs sont sujets aux blessures et tombent souvent malades après des compétitions.
Pour éviter que le corps ne réagisse par une maladie, il faut veiller sur le métabolisme d’une part en remplaçant au mieux les aliments traités industriellement par des denrées riches en vitamines et substances minérales, et d’autre part en apportant des suppléments sous forme de micronutriments.
Les besoins en micronutriments montent en flèche lors de la pratique sportive.
Des changements métaboliques liés à la pratique sportive entraînent une augmentation des besoins en micronutriments. Au niveau physiologique, l’apport plus important en oxygène accroît le stress oxydatif et la formation de radicaux libres. Ensuite, l’activité métabolique plus intense nécessite un apport plus important en micronutriments, alors que leur déperdition à travers la transpiration, l’urine et les intestins s’accentue. Il n’est pas rare de voir des sportifs souffrir de carences en ces précieuses substances.
Une préparation riche en micronutriments permet de palier à toutes carences et de neutraliser le stress oxydatif accru, ainsi que la production supplémentaire de radicaux libres. Grâce à cette démarche, le sportif optimise ses performances, diminue le risque de maladies et d’accidents et raccourcit sa période de récupération.
Les vitamines B soutiennent la décomposition des hydrates de carbone et des graisses. Elles peuvent également agir comme soutien lors de fatigue, de manque d’initiative et de capacité de performance physique et cérébrale réduite. De plus, elles augmentent la capacité de coordination et de concentration, et préviennent la chute des performances. Une carence en vitamine B1 se manifeste par des crampes aux mollets et une faiblesse musculaire.
Le magnésium étant nécessaire à la transformation de la vitamine B1 en sa forme active, un déficit en magnésium entraîne un déficit en vitamine B1.
Le zinc permet de compenser les pertes par la sueur, de renforcer le système immunitaire et de stimuler les processus musculaires et la guérison des plaies.
Le calcium et le magnésium sont importants pour la fonction musculaire. Il est donc recommandé d’inclure des aliments riches en magnésium dans la nourriture quotidienne, tels que le pain complet, le son de blé et les légumineuses.
Le fer participe au transport de l’oxygène ainsi qu’à plusieurs réactions de gain énergétique dans les cellules musculaires. Un manque de fer suffit à limiter les performances dans les sports d’endurance.
Les antioxydants, tels que certaines enzymes, les vitamines A, C et E, le zinc, le manganèse, le sélénium et des bêta-carotènes, permettent de neutraliser les radicaux libres. Ces derniers sont formés en plus grande quantité au cours de la pratique du sport et peuvent léser les cellules du corps.
Les compléments alimentaires : Le sportif amateur aussi concerné que le pro
Vous l’aurez compris, que l’on soit sportif amateur ou professionnel, les micronutriments sont très importants pour la transposition de l’énergie dans le processus métabolique. En apporter un supplément offre plusieurs avantages :
-accroissement de la capacité de performance,
-régénération et temps de récupération plus rapides (après un entraînement ou une compétition),
-protection contre les blessures et les maladies,
-réhabilitation plus rapide après des maladies ou blessures.
Pour toutes les raisons évoquées dans cet article (appauvrissement nutritionnel, surconsommation des micro-nutriments), les compléments alimentaires sont devenus incontournables.
Faisons mieux connaissance… Qui est Brigitte Simon ?
Originaire de Normandie, ayant vécu principalement à Caen, Brigitte a eu une carrière tennistique entre 1974 et 1984 c’est-à-dire de 18ans à 28 ans. 36ème mondial au mieux en Août 1978 et 1ère française, elle a gagné Monte-Carlo cette année-là et fut demi-finaliste à Roland-Garros contre Virginie Ruzici. Ce match est dans l’histoire car ce fut la première retransmission télé d’une demi-finale femme à Roland-Garros. Seulement 4 françaises avec Françoise Durr titrée en 1967, 33 ans avant Marie Pierce, et plus récemment Marion Bartoli ont réussi cet exploit.
Ensuite, elle s’est tournée vers l’enseignement, elle a été Directrice Sportive à Caen pendant 15 ans et a exercé sur le terrain encore jusqu’en juin 2015. Elle a créé un blog en 2013 mais elle y est active depuis 6 mois avec une publication environ par jour.
Maintenant, elle fait valoir ses compétences dans le domaine de la préparation mentale et la nutrition depuis octobre 2015 pour les particuliers ou les organismes (club, ligue, etc…).
Côté mental
La force de Brigitte sur le terrain était le physique et surtout le mental à l’époque. Après avoir suivi une formation professionnelle diplômante avec Marc Lefèvre, elle peut avec simplicité et pédagogie coucher sur le papier son vécu psychologique au cours de sa carrière et ainsi partager et transmettre son vécu de sportive de haut niveau.
Côté nutrition
Comme elle me l’a dit au téléphone « L’alimentation d’aujourd’hui, c’est la santé de demain. »
Après avoir ouvert un centre de remise en forme PowerPlate, elle a découvert la gamme Energy Diet : une nouvelle génération de substituts de repas et des compléments alimentaires pour la performance et la prévention des blessures : cela apporte un équilibre et un contrôle nutritionnel sans risque de carence avec la possibilité de le cuisiner. L’essai fut concluant sur elle et sa clientèle.
La digestion des substituts est plus facile qu’un plat pris trop tard, pratique à préparer juste avant les compétitions car les clubs ne sont pas forcément équipés pour une restauration adaptée à la pratique sportive. De plus les horaires de matchs pouvant être variables, la prise de substituts de repas permet d’étaler sa prise d’alimentation dans le temps beaucoup plus facilement.
Au niveau hydratation, il existe 2 types de boisson :
– à prendre après l’effort, la boisson de récupération Energy Pure pour drainer et favoriser l’élimination des toxines. Au quotidien Energy Pure permet de nettoyer le foie et les reins.
– à prendre juste avant ou pendant l’effort, la boisson d’effort Beautysané-Sport, à prendre en alternance avec de l’eau pure.
Après une formation et dans ce domaine depuis 7 ans, elle aide à optimiser son alimentation avec les contraintes de société, elle accompagne ses clients et les conseille. Ses produits de la marque française Beautysane née en 2003 se vendent directement par l’intermédiaire d’un conseiller en équilibre alimentaire formé par un comité scientifique indépendant (FFBE). Grâce au suivi personnalisé de chaque client, le taux de satisfaction atteint les 97%. Actuellement, 1 boite est vendue à chaque seconde dans le monde.
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